La Pleine Conscience en entreprise :
favoriser le partage de points de vues
Du succès vers le Burn Out…
Paul, un entrepreneur visionnaire
Il y a plus de 30 ans que Paul avait créé sa boîte.
A l’époque : « il avait vu ce que d’autres ne voyaient pas, et il avait été le seul à y croire »
L’entreprise était une référence dans son domaine et sa position n’avait jamais été contesté.
Des produits copiés mais jamais égalés.
Ces dernières années, ses concurrents parvenaient à prendre des parts de marché, mais Paul savait qu’ils surfaient sur des vagues qui finiraient toujours par s’échouer sur le roc de la tradition !
Déclin et crise collective
La perte de part de marché était réelle.
Le business déclinait et les collaborateurs de Paul s’inquiétaient d’une situation qui se dégradait.
Son encadrement lui proposait d’investir dans de nouvelles méthodes de fabrication, de développer des produits plus en phase avec l’évolution des demandes des clients, de chercher de nouveaux marchés…
Mais Paul était ferme et sa conception du business était hermétique à toute idée qui n’émanait pas de lui : ça avait toujours très bien fonctionné comme ça !
Ses financeurs l’alertaient des prévisions : des financiers !
L’entreprise n’offrait plus de perspective à ses salariés.
Les premiers départs avaient lieu : qui souhaiterait s’investir dans une entreprise qui ne cherche qu’à se maintenir à flot ? Comment trouver la motivation lorsque l’effort n’est plus rémunéré, lorsqu’il n’y a plus aucun projet qui fédère, lorsque vos idées ne trouvent aucun échos ?
Tous les salariés étaient concernés, tous les services étaient touchés.
Des signes de Burn Out
Il devenait impossible d’échanger avec Paul, lui qui était si ouvert auparavant, si humain.
Il était toujours irritable, il avait toujours le dernier mot, quand ce n’était pas le dernier poing sur la table…
Des nuits à ruminer, à ressasser un passé qui ne comptait plus que pour lui, Paul finit par voir sa santé se détériorer au rythme de celle de son entreprise.
Lors d’une consultation chez Christophe, son médecin et ami, ce dernier lui confirma ce que les signaux que son corps lui transmettait à travers ses insomnies, son hypertension, ses mots de têtes : Paul entrait dans la spirale du Burn Out.
Christophe lui expliqua les conséquences dramatiques du syndrôme d’épuisement généralisé : plus que son entreprise, Paul risquait de perdre santé.
La Pleine Conscience comme nouveau départ
Déposer les préjuger
Lorsqu’il lui parla de la Pleine Conscience, la réaction de Paul fut : « encore un truc de perchés proposés par des hippies sur le retour qui n’ont jamais travaillé de leur vie »…
Christophe était un ami : « un mec sérieux, pas un de ces nouveaux médecins qui vous donnent des génériques ou des pilules homéopathiques remplies d’eau… »
Alors Paul accepta de rencontrer Adam : « pour voir, parce que c’est toi qui me le proposes… »
Lors de leur première rencontre, Adam demande à Paul : « qu’est ce qui vous a conduit à créer votre entreprise ? »
Et Paul de répondre : « J’ai vu ce que les autres ne voyaient pas et j’étais le seul à y croire »
Paul : « et vous, je crois que vous étiez un ingénieur plutôt talentueux, qu’est ce qui vous a conduit à devenir un espèce de guru pour les entreprises ? »
Adam : « j’ai vécu ce que les autres refusent de voir au début, mais ils finissent par y croire… »
Paul avait trouvé « son nouveau gars »…
Et découvrir d’incroyables ressources
Il participa, avec son équipe, au programme de Pleine Conscience proposé par Adam.
Les premiers changements, il les constata en lui.
Le calme s’installait dans son mental et dans son comportement, un apaisement extrêmement positif.
Il retrouvait sa capacité de concentration qui lui permettait d’être si efficace dans ses prises de décision.
De ces pratiques naissait un espace de sérénité, dans lequel son imagination pouvait de nouveau s’exprimer.
L’ouverture dont il faisait preuve offrait à ses collaborateurs la possibilité de s’exprimer et il constata l’incroyable créativité d’une équipe qui était de nouveau apaisée et en confiance…
Un matin, il invita tous les salariés à un petit déjeuner partagé.
Sur le mur de la salle il avait fait peindre ces mots :
« Ici, une idée ne se défend pas, elle se partage ».
La suite, vous l’imaginez déjà…
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